

L’album s’ouvre avec une reprise de “Ecstasy of gold” d’Ennio Morricone issu de la B.O de “Le bon, la brute et le truand”. Le groupe entre en scène et enchaîne avec “The call of Ktulu“, morceau instrumental de près de 9 minutes et qui provoque direct un hérissement des poils. La puissance des guitares, la rythmique des percussions se mélange avec perfection au son des violons, des tubas et des hautbois. Mais il reste une question : que faire avec la voix puissante de James Hetfield ? Afin d’y répondre, je vous laisse juge du morceau suivant, un des meilleurs de groupe : “Master of puppets“.
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Le doute est levé, place au reste du show. “Of wolf and man” arrive et on continue sur la même lancée. Le mixage impeccable fait que chaque instrument a sa place, la conduite de Michael Kamen est extra, on tape dans ses mains, on bouge sa longue chevelure de métalleux avec envie et ça colle au plafond de bonheur. “The thing that should not be“, “Fuel” et “The memory remains” s’enchaînent et on en revient toujours pas, on déguste avec un plaisir rare et on redécouvre les morceaux accompagné d’un orchestre classique qui décuple leur puissance.
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=dKsNpCWlyQs[/youtube]
Vient ensuite le 1er inédit du double-album “No leaf clover” co-signé par Lars Ulrich et James Hetfield. Commençant sur fond de péplum, la suite nous fait encore plus tripper. Le mariage de ces 2 univers fonctionne au-delà de toutes les espérances et les morceaux suivants “Hero of the day“, “Devil’s dance” et “Bleeding me” (avec son somptueux et fracassant break) ne feront que renforcer cette impression : cette idée folle donne là un des meilleurs albums de tous les temps.
Mais on était encore loin du compte avant que ne débute le 2nd CD…
To be continued…
Mise à jour du 25 Avril 2011 :
Lire le mariage explosif Part 2
